Photos Nouvelle Calédonie




Epinephelus caeruleopunctatus Exemple de mérou résident dans les passes

Epinephelus cyanopodus Loche bleue

Epinephelus cyanopodus Loche bleue de nuit dans un trou. Il n'y a chez elle, comme chez beaucoup de loches, aucun dimorphisme sexuel. A l'approche de la ponte, seuls le comportement et la dilatation du ventre permet de ne pas (trop) se tromper

Les loches bleues (Epinephelus cyanopodus) en agrégation de ponte se tiennent le jour en pleine eau. Au dessous, sur le glacis de la passe se trouvent les autres espèces (E. polyphekadion et E. fuscoguttatus) et près ou dans les grottes E. malabaricus. La nuit tout le monde cherche un abri (photo 3). Ceux qui n'en ont pas seront souvent la proie des requins

Epinephelus fuscoguttatus C'est ici un ventre blanc. Mâle dominant territorial. Il existe d'autres mâles non territoriaux et bien sûr des femelles, ces derniers ont une livrée marbrée. Si le plongeur s'approche trop, il finira par s'éloigner après beaucoup de résistance et perdra sa livrée. Puis reviendra et reprendra sa livrée une fois que l'intrus se sera éloigné

Epinephelus fuscoguttatus Un ventre blanc est en bas sur sn territoire pendant que deux autres (femelles) croisent au dessus

La loche truite. Cromileptes altivelis. Cette loche vit classiquement dans les zones un peu abimées du lagon et les eaux turbides très côtières. Toutefois, elle migrent vers les passes pour se reproduire. Ce qui est curieux chez elle, est le fait qu'elles arrivent isolément (les autres aussi certes) mais pour se mettre par couple ! et ce qui est curieux également est le fait que les couples sont formé d'individus de taille similaire

Epinephelus malabaricus C'est sans doute la loche du lagon qui se compare le plus facilement à notre Epinephelus marginatus pour son mode de vie et ses paramètres biologiques. Elle pond par petits groupes de 3 à 7 avec 1 seul mâle. Souvent le mâle est résident, son domaine fixe le lieu de ponte. Cette photo est prise de nuit, 5 femelles dont les tailles sont comprises entre 110 cm et 120 cm sont dans ce trou

Epinephelus malabaricus C'est ici le mâle, maître des lieux. La photo est prise de jour, au moment de la sieste ! Le mâle arbore une livrée à bandes blanches qu'il pert assez facilement lorsqu'un plongeur le dérange. On distingue derrière une fuscoguttatus et à gauche une polyphekadion. Au fond le nuage de cyanopodus.

Perroquet à bosse ( Bolbometopon muricatum) vieux mâle. Pour eux la passe est aussi un site dortoir. Ils y pondent parce qu'ils y trouvent à ce moment là, mais peuvent pondre ailleurs. mais toujours dans les eaux claires océaniques du récif barrière

le même Perroquet à bosse (Bolbometopon muricatum)

Epinephelus polyphekadion ou loche crasseuse. Parade nuptiale. Le mâle est blanc. La femelle concerve sa livrée normale. Ils se mordillent sans blessure et se mettent "tête-bêche" en se frottant les flancs. La ponte est pour bientôt. En revanche lorsqu'il s'agit de défendre son territoire contre un autre mâle, les "coups de gueules" sont plus violents, sans toutefois faire de gros dégats

grotte refuge de nuit pour femelles d' Epinephelus polyphekadion. Tous ces poissons en reproduction (qu'elle que soit l'espèce) sont la proie des requins. Essentiellement le gris, le marteau et le tigre

un Plectropomus laevi en inversion sexuelle. On distingue sur la livrée encore brune, les taches blanches qui commencent à apparaître. Dans quelques jours ce poisson sera comme en photo 7, noir avec des taches blanches

Plectropomus laevi mâle

Plectorhinchus lineatus Espèce à sexes séparés, il forment des bancs de frai splendides. De septembre à janvier, ils viennent pondre à chaque pleine lune, restent 8 jours dans la passe et repartent pendant le reste de la lunaison